Monsieur Michaux, au début de l’été 1936, on va l’imaginer comme un homme sans visage, mais avec un chapeau, et qui marche sur le trottoir en regardant de loin les sorcelleries du monde autour de lui : il dépasse maintenant l’emplacement du Café Cousin, qui avait servi à ses clients au cours du siège de 1870, pour le déjeuner de Noel, de la tête d’âne farcie, du consommé d’éléphant, des goujons frits, du rôti de chameau, du civet de kangourou, des côtes d’ours sauce poivrade, un cuissot de loup sauce chevreuil, du chat flanqué de rats, et de la terrine d’antilope…
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